Yahweh's Restoration Ministry

If You Know Him, Then What Is His Name? (French)

Si vous Le connaissez, alors quel est Son Nom?

La plupart de ceux qui croient en la Bible vivent leur vie sans jamais voir la flagrante incohérence existant dans leur approche du Créateur de l’univers. Contrairement à d’autres religions majeures de ce monde, dont les adhérents utilisent un nom spécifique pour leur divinité, le nom employé exclusivement pour le Père Céleste étant adoré dans la chrétienté est un titre, ou sont des titres, communs et génériques. Alors que les païens fidèles comprennent précisément qui ils adorent, des millions de chrétiens appellent et rendent un culte à leur Créateur par les termes habituels « seigneur » et « dieu », et continuent à demander : « Le connaissez-vous ? »

Le fait évident est que la chrétienté a négligé le Nom révélé et personnel du Père Céleste. Beaucoup ne réalisent même pas qu’Il a un Nom, croyant que le titre Dieu est un nom parce qu’il a une majuscule. Cependant, ils acceptent le fait que des milliers de dénominations différentes rendent un culte avec ces mêmes titres mais avec une pléthore de croyances et de pratiques contradictoires. Ce qui amène à se demander si elles-mêmes Le connaissent ?

Identifiez et connaissez votre Père Céleste !

Hormis ces contradictions, le Nom sacré du Père Céleste est-Il à ce point important ? Cela fait-il quelque chose la manière dont vous L’appelez ? A-t-Il même besoin d’avoir un nom pour rendre un bon culte, comme les divinités des autres religions en ont un ? Certains croient qu’Il sait de qui vous parlez peu importe comment vous L’appelez. Mais ont-ils considéré que refuser de révérer Son Nom personnel démontre un manque de respect à l’égard de Celui qu’ils adorent, de même qu’un mépris flagrant de Sa Parole ? C’est exactement ce qu’Il nous dit dans Malachie 2:2.

En des temps de désespoir, combien de croyants en la Bible tomberaient-ils à genoux et feraient appel à Baal ? Ou Vishnu ? Ou Moloch ? Il est évident que CELA A de l’importance quel nom vous utilisez dans un culte. Les Noms VEULENT dire quelque chose. Les noms identifient un être particulier qui a des traits particuliers et qui est adoré d’une manière spécifique, et qui (en théorie) répond par des voies spécifiques à des cultes précis et bien définis.

En faisant appel à des noms comme Vishnu ou Bouddha, vous invoquez une certaine divinité qui ne doit pas être confondue avec le Tout-Puissant de la Bible. Comment quelqu’un pourrait-il s’attendre à ce que le vrai Père Céleste réponde à des noms de cultes païens ? Plus important encore, à quel point est-Il proche de ceux qui refusent Son Nom personnel, décidant qu’un simple titre est suffisant – un titre adapté à une identité perdue dans un océan de doctrines et de croyances en conflits? Un titre est-il suffisant pour le vrai Tout-Puissant lorsque ce même titre peut tout aussi aisément se référer à d’autres divinités païennes ? Notez ce qui suit.

L’apôtre Paul a écrit : « Pour ce qui est donc de manger des viandes sacrifiées aux idoles, nous savons qu’il n’y a point d’idole dans le monde, et qu’il n’y a qu’un seul [Elohim]. Car, s’il est des êtres qui sont appelés dieux, soit dans le ciel, soit sur la terre, comme il existe réellement plusieurs dieux et plusieurs seigneurs, néanmoins pour nous il n’y a qu’un seul [Elohim], le Père, de qui viennent toutes choses et pour qui nous sommes, et un seul [Maître, Yahshua], par qui sont toutes choses et par qui nous sommes » (1 Corinthiens 8:4-6).

S’il existe plusieurs dieux et seigneurs, comment pouvez-vous distinguer celui qui est adoré avec l’un de ces titres ? Indifférent aux arguments et aux excuses que les personnes vont utiliser, Yahweh le vrai Père dit qu’Il est jaloux de Son Nom, et qu’Il ne permettra pas des louanges à des images gravées ayant comme origines des titres communs (Ésaïe 42:8).

Intimité des noms

Nous, dans la civilisation occidentale, avons pratiquement perdu le sens de l’importance des noms. Pour nous, Johnny vaut tout autant que Tommy. Mais, même dans ce cas, nous pouvons être influencé dans le choix du nom de notre enfant sur base de quelqu’un que nous connaissons et possédant un nom particulier. Ce nom est, dès lors, connecté à une personne – peut-être un père, un grand-père ou un oncle – dont la personnalité et les qualités viennent à l’esprit lorsque le nom est cité ou qu’il y est fait référence.

Rien n’est plus vrai que dans les Écritures. En fait, les noms ont une bien plus grande importance lorsqu’il s’agit de la Bible. Ceci est particulièrement vrai à l’égard de Celui que nous adorons comme Créateur et Soutien de cet univers. Philippiens 2:9 dit que Son Nom Yahweh est au-dessus de TOUT nom. Peu importe ce que nous pouvons penser ou voulons croire, faire appel à Son vrai Nom est d’une importance critique à Ses yeux.

Son Nom révèle Son Identité spécifique. Lui seul est celui qui est connu par Son propre peuple comme le véritable Tout-Puissant appelé Yahweh. Lorsqu’un étranger vous appelle « amis », « monsieur » ou « madame », cela ne vous gêne pas. En fait, vous vous attendez à ce que les gens que vous ne connaissez pas utilisent de tels titres. Mais une fois que vous avez été présentés et que vous donnez votre nom à l’autre personne, vous vous sentez déconcerté si il ou elle continue à vous appeler monsieur ou madame. En agissant de la sorte, votre contact rejette la proximité que, normalement, l’usage de votre nom induirait.

Yahweh ressent la même chose. Une fois que nous connaissons Son Nom, mais que nous persistons à l’appeler par des titres de divinités communes, nous perdons Sa faveur. Son Nom est une marque de proche intimité. Comment certains peuvent-ils prétendre avoir « une relation personnelle » alors qu’ils ne l’appellent même pas par Son Nom ? En faisant une alliance avec Israël, l’une des toutes premières choses que Yahweh a faite a été de Se présenter à eux sous Son Nom personnel. Il voulait et s’attendait à l’intimité que l’usage de Son Nom personnel engendrerait.

Venons-en à des points précis

Lorsque Yahweh proclame par le prophète Ésaïe 42:8 : « Je suis [Yahweh], c’est là mon nom », Il n’a pas dit « c’est l’un de mes noms » ou « tu peux m’appeler comme tu veux, je saurai de qui il s’agit ». Au contraire, Il a dit « c’est là mon nom ». Point. Fin de la discussion. Le psalmiste écrivit à Son propos dans 83:18 « toi seul, dont le nom est [Yahweh]… »

Dans la Bible, quand une personne donne son nom à une autre personne, cela signifie la jonction des deux dans une proche unité. Lorsque Yahweh donna Son Nom à Israël, Il se lia à eux – il s’agissait d’un mariage – l’union la plus proche dont deux personnes peuvent se réjouir. Nous devons, en tant qu’Israël spirituelle et épouse du Messie, porter Son Nom également.

Est-ce une simple coïncidence qu’une femme prend le nom de son mari dans un mariage ? Pourquoi cela ? C’est parce qu’à présent ils sont unis – ils sont devenus une espérance, un but, un engagement en une cause unique dans une famille menée par le mari. (En cette ère de féminisme, il est difficile de dire combien de temps cela va encore être pratiqué). Actes 15:14 nous dit que Yahweh Se choisit, parmi les païens, un peuple spécial «portant Son Nom ». Il est en train de créer une famille à Son Nom : «C’est pour cela que je fléchis mes genoux devant le Père (de notre [Maître Yahshua le Messie]), duquel est nommée toute famille dans les cieux et sur la terre » (Éphésiens13 :14-15, Bible Darby).

Estimé par le Nom

Bibliquement, une personne et son nom sont virtuellement équivalents et inséparables. Le mot « nom » en hébreux est shem. Shemsignifie une marque ou un mémorial – exprimant l’individualité d’une personne. Un nom est la marque de l’honneur (ou déshonneur) d’une personne, son autorité, et son caractère. En fait, un nom décrit et définit tout ce qui concerne la personne. Le Nom Yahweh a une grande importance à cause de ce qu’il définit. Intrinsèquement, le Nom de Yahweh est la véritable parole de vie.

Dans Exode 3:14 Il dit à Moïse : « Je suis celui qui suis,» ou « ha Yah asher ha Yah » en hébreu. Ce qui signifie « Je suis l’existence elle-même ». « Je fais exister toute chose ». Son Nom Yahweh Le décrit, Le définit, et met Ses qualités en évidence comme étant celui qui nous fait exister maintenant, et comme celui qui peut, pareillement, nous donner l’existence éternelle. Joël 2:32 prophétise que le jour viendra où quiconque invoquera Son Nom sera délivré. Cette signification est également intrinsèque dans la définition de Son Nom : « Je suis » ou « Je serai ». « Yahweh » a la connotation « Je serai là (pour toi), » spécialement quand vous avez besoin d’une délivrance.

Son Nom est aussi un Nom de famille. Son peuple, ceux qu’Il a choisi, son appelé de Son Nom : « [Yahweh], écoute ! [Yahweh], pardonne ! [Yahweh], sois attentif ! agis et ne tarde pas, par amour pour toi, ô mon [Elohim] ! Car ton nom est invoqué sur ta ville et sur ton peuple » (Daniel 9:19). Son peuple porte ce merveilleux Nom car ils sont dans une alliance avec Lui – Lui obéissant et Lui plaisant dans tout ce qu’ils font. Il est extraordinaire que Son Nom Yahweh soit présent au moins 6823 fois dans les anciens manuscrits hébreux de la Bible. Cela ne peut simplement pas être ignoré.

L’erreur dans l’argument « Mais je parle le français »

Il y a également l’argument : « Je ne L’invoque pas par Son Nom hébreu parce que je parle le français. » Une personne change-t-elle son nom lorsqu’elle voyage dans des pays étrangers dans lesquels différentes langues sont parlées ? Ou son nom est-il le même où qu’elle aille ? A-t-elle un nouveau passeport à chaque entrée dans un pays ? Ou bien Monsieur Dupont est-il toujours « Monsieur Dupont » dans chaque pays qu’il visite ? Il est évident que son nom reste inchangé, épelé de la même manière peu importe où il se rend.

Quel est l’équivalent français de Barack Obama ? C’est Barack Obama, n’est-ce pas ? Quelle est la forme française de Bill Clinton ? Eh bien, c’est Bill Clinton. Si l’argument est « Je parle le français donc j’utilise des noms français », dans ce cas comment dit-on « Satan » en français ? Satan est la translittération d’un nom des Écritures, comme le sont de nombreux autres. Tout comme Yahweh, le nom Satan est hébreu. La forme française d’Abraham est également Abraham, un nom hébreu directement sorti des Écritures hébraïques et repris pratiquement sans altérations dans nos traductions françaises. Qu’en est-il de Daniel, également un nom hébreu ? Qu’elle est l’équivalent français de Daniel ? Le nom est Daniel évidemment. Et quid de Sarah ou Marthe ?

Tous sont des noms hébreux inchangés dans la traduction française parce que les noms ne se traduisent tout simplement pas. Les noms sont translittérés, c’est-à-dire que l’on fait correspondre, sans changements, les sons d’un langage avec les sons d’un autre langage. Nous n’avons aucuns problèmes à utiliser sans équivalents français ces noms hébreux pour la bonne et simple raison QU’IL N’Y A PAS D’ÉQUIVALENTS FRANÇAIS ! Pourquoi devrait-il en être autrement avec le Nom de Yahweh ? Pourquoi le Nom le plus important de l’univers devrait-il être non seulement altéré, mais complètement remplacé ? (Le terme « dieu » n’est pas, à proprement parlé, un mot français. Il dérive du latin « deus » – se prononce ‘déous’ – issu de la racine indo-européenne « dei wo » et se retrouve dans le nom du dieu grec Zeus – se prononce ‘dzéous’).

Mots et noms communs comprenant « Yah »

L’un des mots de louanges les plus populaire est « alléluia ». Chacun peut l’entendre dans les églises du monde entier. C’est l’un des mots d’exultation existant les plus anciens, et se trouve être un terme purement hébreu (halleluyah). « Hallel » signifie« louange » en hébreu, et « Yah » est la première partie du Nom sacré de Yahweh (c.-à.-d. Yah-weh). Ainsi,halleluYah signifie « louez Yah ». Beaucoup ne réalisent pas que le mot de louange le plus commun contient le Nom même de notre Père Céleste – halleluYah. Nous trouvons particulièrement ce mot sous la forme « alléluia » en français. Mais dans d’autres versions on le trouve sous la formehallelu-Jah, le « j » est toutefois dérivé de l’hébreu yod, qui est une consonne-voyelle équivalent au « y ». Un autre fait que beaucoup ignorent, c’est qu’il n’existait pas de lettre « j » dans les alphabets hébreu, grec ou latin. Pour cette raison la lettre originale ne pouvait pas être un « j » mais un « i » ou un « y ». Le « j » est la lettre la plus récente de notre alphabet et naquit au alentour de l’époque de Christophe Colomb.

Le « j » est simplement un « i » avec une courbe à son extrémité, avec un son « gi » qui n’existe que depuis peu de temps. Le « j » et le « i » étaient utilisés de manière interchangeable jusqu’au XVIIe siècle. Les Écritures reprennent de nombreux noms connus qui contiennent le nom de notre Père Céleste. « Élie » se prononçait « Eliyah », un nom qui signifie « mon El est Yah ». Ésaïe (YehshaYah) est un nom hébreu qui signifie « salut de Yah ». Jérémie (YirmeYah) signifie « celui que Yah a élevé ». Quant à Sophonie (ZephanYah), c’est « caché de Yah ». De nombreux autres auteurs et prophètes furent nommés sur base du Nom Yahweh, montrant le lien profond qu’ils avaient avec Lui.

Les inconsistances de l’argument en faveur du français

Si quelqu’un persiste dans sa position selon laquelle parce que nous parlons français nous ne devrions pas utiliser des formes hébraïques, dans ce cas nous ne devrions pas non plus utiliser les noms ci-dessus parce qu’il s’agit de noms hébreux et que « nous ne parlons pas l’hébreu ». Il ne serait pas juste d’appliquer cet argument uniquement au Nom de Yahweh et pas aux autres noms et mots hébreux de la Bible – comme « sabbat », un nom hébreu, ou « Messie » un autre mot hébreu.

Et quid de toutes les villes des Écritures, comme Jérusalem, Nazareth, Bethlehem, et les noms de centaines d’autres personnes, lieux, rivières, mers, déserts, et montagnes ? Tous devraient être transformés en équivalents français pour être consistent avec l’argument appelant à l’usage exclusif du français. Le problème est qu’il n’y pas de formes équivalentes en français pour ces noms hébreux ! Pas plus qu’il n’y a d’équivalent adéquat ou de nom, ou de titre, de substitution pour le grand Nom de Yahweh.

Mais poussons l’argument un peu plus loin.

« Cher Président (sans nom) »

Quel est le nom français pour Yahweh ? Cela pourrait-il être Dieu, avec un « D » majuscule ?

Premièrement, il nous faut comprendre que « dieu » n’est pas un nom mais un titre. Paul dit qu’il y a de nombreux dieux et de nombreux seigneurs. Les titres ne définissent pas d’individus particuliers. Il y a de nombreux présidents dans nos pays – présidents de compagnies, de collèges, présidents de conseils d’administrations, présidents de banques… mais il n’y a qu’un président de General Motors, un seul président d’Harvard, et un seul président de Citibank – et chacun à un nom qui lui est propre.

Si j’écris une lettre qui débute par la salutation « Cher président », celle-ci peut s’appliquer à n’importe lequel de ces présidents. Ce n’est que quand j’inclus le nom avec le titre que je mets en évidence à qui je m’adresse précisément. Si je prie le dieu de ce siècle, Paul dit, dans 2 Corinthiens 4:4, que je pourrais bien prier Satan car Satan est appelé un « dieu de ce siècle », comme le sont des milliers d’autres divinités auxquelles l’homme a rendu un culte tout au long de l’Histoire. Et même dans ce cas, ces divinités avaient des NOMS précis qui étaient liés à leurs titres.

Notre français, langue étrangère

Le mot « Dieu » est-il simplement l’équivalent de «Yahweh » utilisé par les croyants francophones ?

Attend-il de Son peuple que celui-ci change Son Nom en une autre forme plus conforme à la langue qu’il parle ? Cela est-il même possible ? Le Dictionnaire des racines des langues indo-européennes (R. Grandsaignes d’Hauterive, Éditions Larousse, Paris, 1949) dit que « dieu » dérive du Latin deus, ayant lui-même pour racine l’indo-européen dei wo ; la base étant « dei- »signifiant« luire », « briller » –  dei wo = « ciel lumineux » considéré comme une divinité païenne. Ce mot a également donné dios et zeus(prononcé dzéous) en grec.

Le point est le suivant : peut-on dire que « Dieu » est un mot français ? Absolument pas ! Son usage commun en français repose sur d’antiques origines étrangères. Relativement peu de mots français utilisés sont du pur français. Le mot « Français » même n’est pas du français ! « France » vient du germanique « Franko(n) » (Francia en latin), domaine des Francs. Qui étaient les Francs ? Un peuple de guerriers germaniques situé aux abords du Rhin au IIe et IIIe siècle, et qui allait dominer la majeure partie des Gaules, de la Germanie et la Lombardie (nord de l’Italie actuelle) après la chute de l’Empire romain au Ve siècle.

Notre langue « française » impure

Le français est un langage qui emprunte de manière très étendue à d’autres langues. L’argument « Je parle français, c’est pourquoi je n’utilise pas de noms hébreux » manque, en fait, d’une base historique. Examinons quelque peu cet argument et voyons combien les racines de notre langue peuvent être peu françaises, et ce par quelques exemples issus de cette phrase :

« Je » vient  du latin populaire eo, lui-même du latin classique ego.

« Français », comme nous l’avons vu, est d’une racine germanique.

« Parler » à pour racine le grec parabola ayant donné le latin parabolare.

« Être » à pour origine l’ancien français estre.

« Noms » vient du grec onoma

« Hébreux » vient de l’hébreu Eber.

Dans les exemples issus de cette phrase « Je parle français, c’est pourquoi je n’utilise pas de noms hébreux » on constate que le verbe « être » est peut-être le seul mot dont on peut dire qu’il est d’origine française. Le fait que l’on souhaite mettre en évidence ici, est qu’on ne peut pas dire que le français soit un langage pur en tant que tel. La majeure partie de ses emprunts vient du grec, du latin, voire de l’arabe et de l’hébreu même. La plupart des mots que nous utilisons en français viennent d’autres langues.

Dans tout ceci, le point important est que le langage n’a pas grand-chose à voir avec le Nom du Tout-Puissant des Écritures. Il était Yahweh avant qu’Il ne place l’homme sur cette terre. Avant qu’il n’y ait eu tous ces langages à Babel, Il était Yahweh. Son Nom transcende les langues. « Yahweh » est la vie personnifiée. Psaume 135:13 dit : « Ton nom subsiste à toujours, Ta mémoire dure de génération en génération. » Son Nom est Son mémorial qui perdure pour toujours.

Le premier commandement est fondamental

Dans Exode 20:2, les Dix Commandements débutent ainsi : « Je suis [Yahweh], ton [Elohim], qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison de servitude. Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face.» En définitive, tous les faux cultes peuvent être liés à la transgression du premier des dix commandements. Tous les péchés que nous commettons résultent du refus de suivre Yahweh et Sa volonté manifestés en premier lieu dans Ses lois.

Avant de dire quoi que ce soit, Yahweh établit dans le tout premier commandement que LUI est Yahweh notre Tout-Puissant. Ecclésiaste 12:13 énonce cette importante vérité :« Écoutons la fin du discours : Crains [Yahweh] et observe ses commandements. C’est là ce que doit faire tout homme. » Nous continuons avec Exode 20:4 : « Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. » Les païens ne rendaient pas de culte à une image de pierre en tant que pierre, mais comme une représentation d’une divinité. Il dit : « Ne fabriquez pas ces choses car elles vous rappelleraient d’autres divinités, et Je suis le seul que vous avez à adorer. »

Plus loin, le verset 6 nous dit d’observer les commandements si nous L’aimons et qu’Il nous ferait miséricorde à Son tour. Notez à présent le verset 7 : « Tu ne prendras point le nom de [Yahweh, ton Elohim], en vain ; car [Yahweh] ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain. »  Que signifie de ne pas prendre Son Nom en vain ? Un juron lorsque vous ratez le clou avec votre marteau et que vous frappez sur votre pouce ? Ou quelque chose de beaucoup plus important ?

Pas dans l’hébreu

« Prendre » est traduit de l’hébreu nasa signifiant « lever » ou « emmener ». « Vain » vient de la racine hébraïque shoaw signifiant« se ruer sur ; dévaster ; ruine » –  fondamentalement,« prendre en vain » signifie « traiter avec négligence ». Lorsque nous remplaçons Son nom uniquement par quelques titres, nous transgressons le Troisième Commandement.

Le commandement dit : « Ne portez pas Son Nom à la désolation » ou « Ne L’ignorez pas par négligence ». Lorsque nous utilisons un titre commun dans le culte, nous perdons l’aspect le plus important de l’identité de Yahweh et ce qu’Il représente ; Ce qu’Il est et ce qu’Il peut faire pour nous. Son Nom décrit l’essence même de qui Il est : Yahweh – Il est l’existence elle-même. Aucun titre ne peut décrire tout ce que Son Nom représente. Un titre annule la raison d’être même d’un nom. Il est juste là comme une étiquette, sans profondeur de sens, n’étant lié à aucune identité particulière.

« Je suis [Yahweh], c’est là mon nom ; et je ne donnerai pas ma gloire à un autre, ni mon honneur aux idoles », dit-il dans Ésaïe 42:8. Lui et Son Nom sont inséparables. Nous espérons que vous prendrez conscience de l’incroyable importance de cette vérité, et que vous en arriverez à connaître votre Créateur par Son Nom personnel et révélé : Yahweh. Imaginez tout ce qu’Il peut et voudra faire pour vous si vous Le mettez à la première place et que vous honorez Son merveilleux et puissant Nom !

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